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10 BD qui résument très bien le combat contre la dépression

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La dépression est un problème de santé qui n’est pas aussi facile à soigner qu’un rhume.

Lorsqu’une personne est touchée par une dépression, cela ne doit pas être pris à la légère, cependant grâce au soutien des proches, des professionnels de la santé, de la famille et des amis, il est possible de la vaincre et de guérir .

Voilà le sujet traité ici avec de superbes illustrations de l’artiste Colleen Butters. Si la dépression a déjà fait partie de votre vie ou celle d’une personne proche de vous, alors ces BD vous parleront.

Le combat contre la dépression en bandes dessinées :

Plus d’info : Wimp

10 bandes dessinées qui résument parfaitement le combat contre la dépression

Publié par Laurent tourelle

82 Commentaires

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  1. Vous nous montrez un joli visage de la dépression. L’entourage n’est pas toujours à l’écoute ou se lasse vite ou tout simplement ne veut pas comprendre. Et vous êtes là tout seul avec votre mal être en vous renfermant sur vous même pour ne pas l’ennuyer. ??

    • C est pas faux. Les gens des qu ils vont bien ne se rendent pas compte de cette souffrance. Ils sont tellement axés sur leur bonheur qu ils ne s imaginent pas à quel point on peut être mal

      • Je reconnais que c’est vrai, et c’est un point que beaucoup ignorent. Le souci alors, réside dans le fait, que l’entourage, n’est pas le mieux placé, pour aider, tout simplement, parce que c qui importe, c’est de tenter de comprendre, pour quelle raison, on souffre.Pour peu que la raison, se trouve intimement mêlée, aux relations, avec les amis, ou les proches, dont il est question, il est bien difficile ou délicat, alors, de s’en ouvrir à eux. d’autre part, amis et familles, si bien intentionnés soient ils, tiennent des propos, qui blessent si profondément, quelquefois, par incompétence, qu’on n’ose plus, ensuite, leur ouvrir notre cœur…. ça n’est pas vrai à 100%, heureusement, mais assez souvent.

        • je suis tout a fait d accord avc vous mais alors a qui en parler? les professionnelles a part proposer des cachetons ne font pas grand choses de plus! et quand après de nombreuses années à arpenter les ténèbres le moindre contact social devient impossible! qu elle autre solutions a part les drogues légales? merci

        • Je suis d’accord, c’est très dur, parce qu’on souffre de cette maladie déjà incompréhensible pour nous même et ceux qui ne vous comprennent pas vous demandent de l’expliquer. Moi j’ai vraiment pensé que ce serai mieux que j’ai un cancer pour qu’on me comprenne,. Le fait d’être incompris par l’entourage proche nous tire encore plus vers le bas. On s’isole pour éviter qu’ils nous voient dans cet état et ça, ils nous le reprochent aussi. Pour moi, il n’y a que ma psy qui me comprend. Tous ceux qui souffrent de la même maladie aussi. Je me sens mieux après un séjour en HP, mais l’hp est souvent assimilé à un hôpital pour dingues, et les dépressifs ne sont pas des fous, bien au contraire mais l’incompréhension qu’ils subissent peut à force leur faire croire qu’ils sont fous, et ça c’est dramatique, on est obligé de passer par la case psy, sinon on ne s’en sortira pas.

    • C’est vrai mais parfois comme la famille ne sait pas quoi faire pour aider ils nous envoient voir un pédopsychiatre parce que le psychologue ne suffit pas. Alors on se drogue de médicaments et on essaie d’aller mieux mais comme çà ne fonctionne pas on continue de sourire et de dire qu’on va bien… Après tout c’est ce qu’ils veulent entendre.

      • Je suis d accord. C à remuer des souvenirs en moi. Moi g eu la chance d avoir des parents formidable et une voisine admirable. J avais très honte… aujourd’hui j en parle ouvertement…..????✍

      • quand on a un souci de cet ordre, c’est un psychologue, qu’il faut voir, en premier lieu, et pas un psychiatre. Si le fait, de consulter, le psychologue, vous apporte du soulagement, pour comprendre les causes du problème, alors, vous n’avez besoin d’aucune médication, et vous vous soignez par la parole. la seule véritable therapie, en fait.

        • Je suis actuellement une thérapie avec une Psychiatre géniale.
          Dès le premier RDV j’ai passé un accord avec elle : pas de médication. Elle a accepté et j’avoue que je vais nettement mieux 🙂
          Je n’étais pas à l’aise avec les psychologues que j’ai rencontrés.

    • Je suis tout à fait d accord avec vous. Pour ne pas déranger on garde notre mal être pour nous car avec le temps les gens oublient que nous sommes malade ou se plaignent de notre soit disant FAIBLESSE à ne pas guérir. Très dur à vivre.

    • Je suis d’accord avec vous, les personnes autour de vous se lassent, ou finissent par vois éviter et on arrive à s’isoler pour ne plus ennuyer les autres, à se faire, à remettre le masque … ce n’est pas si simple

        • La dépression est une maladie handicapante qui ne se voit pas. Parce que ça se passe dans le cerveau. Il faut bien s’informer sur cette maladie et surtout se soigner naturellement si on veut s’en sortir. Moi, je me parle à moi même ou à quelqu’un d’imaginaire, qui comprend tout ce que je lui dis, à Dieu aussi, c’est là que je me sens le. Il écoute j’en suis sûre.

          • consoler et choyer son enfant intérieur, c’est un bon début. c’est à lui que vous parlez, il n’est pas imaginaire , c’est lui qu’il faut soigner.

      • Non, c’est même compliqué, c’est vrai. Il faut parvenir à avoir de sa propre situation, un regard plus tolèrent, et plus aimable, apprendre à être méchant(e), verbalement, et directement, pas de façon intermédiaire, ou détournée, aussi, quelquefois, non pas dans le but de blesser, intentionnellement, par simplement, de remettre les choses à leur place, et se faire respecter.

    • Tout à fait d’accord avec vous. Alors pour ne pas « gêner » on se desociabilise… Ça ne se voit pas, pas de jambes dans le plâtre, rien. Je souffre de dépressions récurrentes… « désolée tout le monde je ne fais pas exprès » Je me suis même entendue dire un jour « désolée, je n’ai pas le cancer » à priori c’est une maladie plus noble car votre entourage la prend en considération mais la dépression « allez secoué toi » etc….

      • La dépression est aussi une forme de léthargie, une surdité passagère et parfois un aveuglement sur les ressources. Ce manque d’estime dans ce mal-être devrait donner l’alarme et parlez-en autour de vous pour vous réconforter et nous indiquer votre tristesse et votre besoin d’aide. La famille peut vous écouter mais le côté médical…peut vous sauver la vie. Certaine!

        • Il y a des depressions passives et des depressions actives. Meme ces dernieres peuvent cacher des envies suicidaire.

      • Je souffre de dépression severe chronique . Personne autres que les malades ou les professionnels peuvent comprendre toute la difficulté et la honte d avoir cette maladie. Mes enfants pensent que je les abandonnent. C est très dure à vivre

        • Vous avez tout à fait raison, je suis dans le même cas que vous.
          Moi,, j’ai des remarques, dans le genre c’est du passé, passe à autre chose, tu as la santé, tes deux bras et tes deux jambes !!??????

        • Je suis aussi en dépression sévère chronique et c’est juste horrible, j étais déjà dépressive depuis plusieurs années, j’ai fait 2 Ts, mais depuis le décès de ma fille cela c est empirer et de ce fait, même mon mari en a marre. Je vous comprends bien tous et toutes. Courage

      • J’avoue que l’entourage a souvent du mal à comprendre. Ils pensent qu’en un claquement de doigt on peut s’en sortir de cette spirale qu’est la dépression. Je suis moi même soigner pour cela et depuis quand même pas mal de temps. Au jour d’aujourd’hui je suis toujours sous traitement, et je suis bien stabilisé. Il a fallu beaucoup de temps, mais je reste quand même vigilant car je sais qu’en cas de coup dur ou de grosse déception je ne suis pas à l’abri de la rechute. Mais voilà je suis confiant pour l’avenir et je ne peux que souhaiter bon courage à toutes et tous qui souffrent de ce mal.

        • C’est le jour où l’on m’a qualifiée de clown triste que j’ai compris que ma joie était un mode de survie superficiel. Le développement personnel m’a beaucoup aidée à prendre conscience que je devais prendre soin de moi, relativiser pour de vrai et être moins exigeante avec moi même. Et surtout, faire des cures de sommeil réparateur qui permettent au cerveau de se reposer. La cogitation entraine la cogitation. Le dépression est sournoise et insidieuse. Elle nous ronge de l’intérieur et personne ne comprend. La solution est en soi. Aimer la vie et apprendre à s’aimer soi même, faire un point sur ses désirs se rassurer sur ses valeurs….

      • Ne jamais se desocialiser, au contraire il faut voir du monde, sortir… si je m’en suis sortie c’est aussi grâce à la psy que je voyais, certes les médocs mais aussi et surtout la sophrologie qui en plus de me redonner un peu plus de confiance en moi m’a permis de voir du monde… et après plusieurs années de dire que je ne suis plus sous traitement et ce depuis presque un an, et d’avoir trouvé l’amour… quoi de plus gratifiant que quelqu’un qui vous aime… et je dirais pour finir que je ne m’aimais pas dans cet état de dépression… fallait que je m’en sorte coûte que coûte… alors oui je répèterai vos derniers mots : « bougez-vous!!!! ». L’inaction engendre l’état léthargique de la dépression, et c’est une véritable spirale infernale.

    • Vrai. Beaucoup ne comprennent pas… on se sent tellement incompris, que notre solitude avec ça est encore plus dur à supporter. Déjà que qu’ on a du mal à supporter cet état… mais on en sort même si long et pas à l abri d une rechute. Beaucoup de travail sur soi et de l aide.

    • oui, la dépression nous isole du monde qui nous entoure. La dépression est très mal connue. En tous cas,en France. On nous bourre de médicaments. antidépresseur, somnifère… Du coup, prise de poids, Alors on est encore plus mal. Parfois on nous envoie faire un séjour en hôpital psychiatrique. Si on en sort, c’est pire qu’avant. Ce ne sont pas des paroles en l’air, je sais de quoi je parle. Oui, on nous dit : « parlez, on vous écoutera » vous trouverez toujours une oreille attentionnée pour vous aider. On est obligé de vivre avec. Pour le moment, il n’y a pas de solution miracle pour soulager vraiment une personne dépressive.

      • Bonjour.Il faut trouver un psychothérapeute pour vous aider de sortir toutes les choses qui vous font mal. C’est pas donné- 50 euro non remboursable. Très cher mais…

        • Si tu passes par l’hôpital de jour, antennes, des HP, tu m ne paie spas, tu es au courant , Moi, je n’ai jamais payé, et ça a dut ré ds années, pourtant. le souci, c’est que la liste d’attente, est bien là, alors, il ne faut pas être pressé. d’autre part, sur le plan expérimental, les psychologue, seront éventuellement, remboursés, « on croise les doigts », pour que ce soit vrai.

      • La randonnée et la pratique sportive même si c’est très dur de mettre un pied devant l’autre, il faut garder espoir, on peut s’en sortir entouré de sa famille

    • ok avec vous Attenborough, déjà pour trouver un médecin qui nous prenne au sérieux ça n’est pas toujours facile, alors, l’entourage…..En ce qui me concerne, je me suis retrouvée bien seule et j’au du me débrouiller pour remonter la pente toute seule….Et ça dure depuis 25 ans, même si maintenant je peux dire que je suis sortie d’affaire….mais toujours fragile…

      • Alors tout mon Respect ça donne de l espoir vous savez! moi ça fait une dizaine d année que quelque chose en moi à changé ..G essayé les cachets,m exprimer ,le hurler ,G maudi Dieu de prendre la vie d enfants innocents pr des Haines d adultes en guerre et de ne pas prendre la mienne alors que je l en supplié!10 ans waouh jme disais impossible!comment s en sortir maintenant? seule,embrouillée avc tt le monde, et la je lI votre com et jme dI RESPECT! Tenir 25 ans kom ça,C digne d une guerrière! Merci !

    • Moi suis en pleine dépression et laisser a moi même ma famille ma complètement abandonné et pour mon médecin il ne considèrent pas sa comme une dépression dificil d’avancer c’est très facile de dire qu’il y a de laide mes pas pour tout le monde et je comprend pourquoi les gens se suicide…..

      • Chantale, je ne peux pas ne pas réagir en vous lisant. Je suis allé tellement en HP que ne sais plus exactement combien de séjours j’ai fait. J’ai aussi voulu en finir. Mais ce que je vais vous dire est vrai : j’ai rencontré quelqu’un. Et aujourd’hui je suis toujours malade et en souffrance mais j’ai quelqu’un. C’est juste pour que vous ne passiez pas à l’acte. Je n’aurais jamais cru que ça m’arriverait. C’est ce qu’on appelle la chance. Et vraiment, à part cette personne qui me subit avec courage et amour depuis onze ans, personne n’a jamais voulu de moi. Alors tenez bon. J’ai écrit cette réponse parce-que c’est mon devoir.

    • Malheureusement, certaines personnes n’ont tout simplement pas envie d’aider les autres quand cela arrive…ca m’est arrivee

    • Je suis bien d’accord ! J’ai cessé de parler de mon état de souffrance aux autres car ils ne m’écoutaient plus ! Indifférence, incapacité d’écouter, pas de temps…. et puis on vous dit que vous avez un toit, à manger, un mari, etc…. que d’autres souffrent de cancer…. bien plus grave…. alors vous cessez d’en parler et vous montrez un visage souriant à tout le monde ! Et pour ma part je recherche de plus en plus la solitude, parfois je me sens bien toute seule ! Bref, comme dit la chanson : « mais au bout du compte, on se rend compte qu’on est toujours tout seul au monde ! » Je ne connais personne qui peut comprendre le vrai état dépressif, sauf mon psy qui m’aide beaucoup ! Et le soutien de mon mari (heureusement que je l’ai, sinon…..), quant aux autres, famille et amis (?) très peu de soutien.

    • Je suis entièrement d’accord et comme on voit très vite le peu de personnes aptes à comprendre on garde le masque, on donne une apparence joyeuse, on fait même de l’auto dérision. Je suis atteinte de lypémanie depuis l’âge de 18 ans et toujours en représentation devant les autres alors que j’ai maintenant 70 ans.

  2. Super votre BD elle est tellement vraie je vais la partager car zlle peut aider énormément de personnes
    Il y a beaucoup de sujets sur les quelles vous pourriez faire pareil par exemple : – le harcèlement,
    – l’oubli de soit,
    En tout cas merci et encore merci pour cette Belle et Jolie BD

  3. La dépression ne s’aide pas grace aux personnes du moins pour moi ce n’as pas était le cas. C’est grâce à une remise en question mais le plus dire justement c’est que même en parler cela ne fait pas toujours du bien. Surtout quand certaines personnes ne sont pas compréhensibles.

  4. Je suis tout à fait d’accord, mais n’oublions pas que ce regard est obscurci par le sac sur la tête. Que l’on voit personne prendre soin de nous, parce qu’on cache nos faiblesses, et qu’on sourit. Encore une fois, il est très difficile d’admettre être mal, et avoir besoin d’aide, et effectivement tout le monde n’est pas à même d’apporter cette aide. Le premier pas est d’oser dire que ça va, le second est de trouver la personne la plus adaptée à le dire. Si personne ne convient dans notre entourage, c’est qu’on est tout sauf entouré. Quelqu’un qui s’intéresse un minimum à nous, saura être là quand ça ne va pas.
    La dépression est un cercle perfide où nous confirmons nous-même notre mal-être, à croire que nous sommes inutiles, puisque personne ne voient qu’on est mal, mais sans pour autant prêter attention au fait qu’on fait tout pour cacher ça, alors pourquoi s’inquiéter quand « tout va bien » ??

  5. Je suis tout à fait d accord avec vous. Pour ne pas déranger on garde notre mal être pour nous car avec le temps les gens oublient que nous sommes malade ou se plaignent de notre soit disant FAIBLESSE à ne pas guérir. Très dur à vivre. Merci de votre message

    • Ok avec vous Chris, je n’ai rencontré personne pour m’aider et d’ailleurs, en ce qui me concerne, je n’aurais jamais « cassé les pieds » aux autres avec ma maladie….Il faut y être passé pour savoir ce que c’est…

  6. En effet l’entourage joue un rôle plus au moins important mais la plus grosse remise en question c’est avec soit même et non remettre son état au autre mais prendre la responsabilité de sa situation. Il n’est pas évident par exemple d’aider une personne qui n’ a plus la volonté de se battre. Meme avec le meilleurs entourage possible cela aide en effet et le rôle de soutiens est important mais cela ne sauve pas forcement. Croire que c’est les autres que peuvent nous sauver est une grosse erreur car cela nous donnes l’illusion que nous sommes incapable de changer de nous même. Apres en effet comme le dit si bien la BD la patience est une vertus très important dans ce cas. Pour mon experience perso j’ai eu une période difficile moralement je n’étais pas comprise mais j’avais un peu de soutiens quand meme et j’ai commencé a aller mieux quand j’ai eu un déclic avec moi meme et non quand j’ai eu du soutiens et je me suis mise à consulté une psy de moi même, faire du yoga, faire du sport, rencontrer de nouvelle personne. Je n’avais pas toujours la volonter de faire tout sa mais j’avais la volonté et c’est deja beaucoup. La premiere fois que j’ai vue ma psy elle ma dit quelque chose que je n’oublierais jamais c’est que admettre qu’on va mal et faire la démarche d’aller mieux de SOIS MEME c’est deja un grand pas vers un avenir meilleurs.

    • Tout à fait d’accord avec vous. ..Le soutien est bénéfique. ..Mais la grande erreur en pareil cas c’est d’imaginer que la solution va être apportée par les autres …C’est lorsqu’on a mené une reflexion sur soi même et que l’on a retrouvé un minimum d’estime de soi que la prise de conscience va ce faire ainsi que le déclic qui permet d’avancer et de se battre pour lettre la tête hors de l’eau. ..

      • Tout à fait OK avec vous Nadine, il n’y a que nous pour savoir quoi faire pour nous-même, quand on réussit à y voir plus clair, personne n’a la solution pour nous et quand on a trouvé une lueur au bout du tunnel, c’est à nous de se battre pour en sortir…Je pense même que c’est comme cela qu’on finit par y arriver…

    • Merci.. Voir celui qu’on aime s’enfoncer et être dans l’incapacité de pouvoir aider à part la patience est terrible.. Car il n’y à que la patience..

    • parfois je suis les autres. et non, ce n’est pas facile d’aider. mais… essayer de parler un peu quand la personne est ouverte. de petits gestes affectueux et quotidiens, juste ceux qui montrent que la personne est importante et qu’on est là. c’est facile à faire.

  7. Tellement vrai. Dans mon entourage heureusement j ai un mari compréhensible une maman qui est tombé dedans trois ans après moi. J ai d autre personne qui ne comprennent pas car c est pas visible comme maladie. Car s est bien une maladie.

  8. Tellement de gens méprisent ceux qui ont, ou qui ont eu, une dépression. C’est pas fort. Même les assureurs ne veulent rien savoir de quelqu’un qui a eu une dépression, c’est pas assurable selon eux.
    Belle bande de ….
    Une dépression, c’est une occasion de regarder ce qu’ on a fait jusqu’à maintenant, de voir tous ceux qui ont profité allègrement de nos talents et de dire maintenant: non c’est assez. Je choisis avec qui travailler, je choisis ce que je veux faire, je choisi ma qualité de vie et on peut continuer car la liste est longue. Moi j’ ai choisi d’ être la personne importante dans ma vie et ça a changé beaucoup de choses.

  9. je « patauge dedans depuis plusieurs années et ce n’est pas mon entourage proche (mari et enfants) qui m’aident et me soutiennent, c’est plutôt de l’indifférence voir me faire culpabiliser. l’aide vient de l’extérieur. je l’ai enfin compris et je me suis décidée à aller consulter un psy qui je pense m’aidera à me remettre en question et à « vider mon sac »

  10. L entourage n est pas toujours compréhensif
    J adore lorsqu on me dit « il faut te battre, il ne faut pas ceder, il faut trouver la force ,il faut….. »
    Moi je dis il faut vivre quelques temps la vie d un dépressif et on reparlera apres…
    Aujourd’hui j ai l impression de me battre contre moi même

    • Bonjour,
      Je fréquente quelqu’un de dépressif/suicidaire et j’aurais aimé savoir, de votre point de vue, quels sont les mots que vous voulez entendre de vos proches ? De quelle façon pouvons-nous aider ?

      • On ne veut pas « entendre », on veut « être entendu »…
        On a besoin d’écoute, d’être pris en compte, regardé, estimé…
        Pas de recevoir un énième conseil !

        • Faut-il que la personne dépressive nous parle, je lui ai offert plusieurs fois de me parler, j’ai deux bonnes oreilles, énormément d’empathie, de patience, d’amour et de ressource. S’il préfère parler avec un bon ami, un psy ou d’écrire.
          Je suis tout à fais conscience que mon amoureux est en dépression profonde.
          J’en ai même parlé avec lui et un de ses médecins. Le médecin lui a même proposé de rencontré un psy ou de prendre de la médication et mon amoureux refuse toute aide.
          Je lui ai dit qu’il n’avait pas a avoir honte ou d’être gêné et qu’il n’était pas un poids pour moi, que je suis là pour lui. Je lui ai même posé la question sur le suicide, il me dit que non.
          Je suis très inquiète pour lui, parce qu’il s’enfonce dans son tunnel noir, il coupe la relation avec ses amis et moi. Ça famille ne voit absolument rien et ne lui porte aucun aide.
          J’espère qu’il aura son déclic bientôt, parce que je ne sais pas jusqu’ou il se rendra.
          Offrir de l’aide à quelqu’un qui n’est pas prêt à s’aider lui même c’est pas facile à vivre non plus et je me sens très impuissante face à son manque de vouloir s’ouvrir et d’essayer des petites choses pour lui rendre la vie plus douce…..et de s’en sortir.
          Je lui ai offert mon support, la porte est ouverte…Maintenant ça doit venir de lui…

  11. J’y suis encore plus dedans depuis 4 mois…c’est tellement douloureux que je me suis coupée du monde par peur d’ennuyer encore plus mes copines, des personnes qui je pense m’aimer mais…
    J’ai plongé du coup je me suis très éloignée.

  12. J’ai fait une grosse dépression il y a une dizaine d’années, l’incompréhension de l’entourage, leur impuissance, la peur pour d’autres, le vide sidéral que l’on ressent et qui nous ronge chaque jour un peu plus.
    Des années et des mois de souffrance intérieure absolue qui rendent malade et donnent envie d’en finir, de ne plus exister, se réveiller .
    Le soutien de ma mère, sa patience, son écoute et son amour m’ont aidé à ne pas me suicider.
    Des années de médocs, de psy, de travail sur soi, puis un jour la lumière au bout d’un long tunnel. La vie reprend son court, on réapprend le goût de vivre, des hauts des bas mais on refait surface.
    Aujourd’hui je suis maman, je suis équilibrée, je suis heureuse même si parfois il y a des moments difficiles, je ne serai pas là personne que je suis aujourd’hui si je n’avais pas traversé cette épreuve dans ma vie qui m’a rendu plus forte .
    La dépression est terrible et souvent incomprise. Parlons en, soyons prévenant et bienveillant avec notre entourage

  13. Bof je croie que je suis en plein la dedans j’ai e goût d rein oas le gout de rire pas le gout de voir personne je la cache que qui arrive sa me tente pas de le voir je me couche tres tard ses plate je mage je prend du pois je suis pas contente et bla bla

  14. Je suis tombée dedans progressivement, sans m’en douter… D’origine susceptible, je mettais cela sur le compte de ma sensibilité… Puis il y a ce jour où tout bascule, une dispute, un accrochage en voiture sur un parking que je connais comme ma poche, des pleurs au travail, des insomnies, des envies de partir loin, de l’autre côté…. Cela fait 6 mois, je me redresse suite à un accompagnement et surtout à l’acceptation du fameux « burn out »…. Des rechutes, des hauts, des bas, une courbe qui ne cesse de se mouvoir…
    Jamais je n’aurais cru tomber dans cette spirale, non jamais…
    Cette BD me parle et décrit très bien ce mal être et la manière de le cacher … Aussi lorsque je suis seule (on reste seule même si bien entourée) je me dis que l’entreprise qui m’emploie n’aura pas ma peau… Jamais…

  15. Bonjour , je suis dans la dépression depuis mon enfance………….BEAUCOUP d’échecs ……….scolaire , travail , mariage , divorce . Beaucoup trop hospitalisation HP , maison de repos . Je ne fait suivre depuis des années ……….RIEN n’y fait . Je souffre énormement au fond de moi . J’ai voulu PASSER de l’autre côté du miroir…………il ne manquais plus grand choses . Il parait que j’ai un ANGE GARDIEN au dessus de ma tête……….parait t’il que j’ai une mission à faire sur cette terre …………..LAQUELLE????????????? se lever le matin avec des angoisses , des larmes , de la colère , de la haine , avoir peur de la foule …………………c’est pas la VIE ça .

    • Bonjour je suis dans la même situation surtout depuis que les enfants sont partis étudié je me sens inutile j’ai perdu mon emploi je rame je mendette j’en peut plus. Mais je n’ai personne à qui me confier

  16. bonjour, depuis 13 ans je suis seul !, il y a 12 ans j’ai commencé à sortir tout allé relativement bien !puis en il y a 06 ans j’ai commencé à à sortir de moins en moins , là les gens (FEMMES) me disait tu fais la gueule alors que depuis 12 ans j’écoutais les gens(FEMMES) dans leurs problémes et leurs DEPRESSION et leurs disais coup de cafards appel (telephone) à n’importe quelle heure pour leurs soutenir le moral ! depuis 06 ans seul sans coup de telephone plus de visite plus rien de personne ont ‘a laissé tomber comme une « merde » depuisqueques jours je vais mieux je recommence la marche j’avais pris 17 kgs je vais les perdres ! pour revenir à 83 kgs ! je n’ai pas repassé depuis 02 ans j’etais soit en pyjama et survet ! j’ai pris une resolution ne pklus jamais ecouter personne et les gens se demerderons comme moi j’ai pu faire !les personnes que j’ai pu aider comme j’ai pu ! et leurs pensées je suis bien je ne veux pas qu’il me tire vers le bas ! ! ! ! !

  17. tout a fait dans se cas autour de moi il ni a personne pour me venir en aide mes enfant ne me parle plus ainsi que mon mari qui pense que tout et ma faute déjà plusieurs tentatives de suicide mais a chaque fois je m’en sors a croire que se n’est pas mon heure le soire quand je m’endors je voudrais ne plus me reveillee et tout sa malgré un suivie médical médicaments psy et même psychiatre hospitalisation rien ne m’aide je vie dans un endroit isolée et je ne peut pas me déplace je n’est pas mon permis de conduire je ne voie personne de la journée je sais que beaucoup d’entre vous penseront que je ne veux pas m’en sortir mais je ne sais pas comment faire a chaque fois je je pense aller mieux il y a toujours un événements ou une personne pour me faire replonge dans mon mal de vivre

  18. Je suis en dépression depuis 5 ans officiellement et officieusement depuis la naissance de mon fils il y a 12 ans. J’ai déjà tentée de le suicider 2 fois …..
    J’ai perdu mon père il y 8 mois et ça m’a achevé. Je porte un masque pour faire bonne figure. Mais pas facile. Je me supporte plus.

  19. n’oubliez pas que vous vivez un combat de chaque instants, c’est fatiguant, à des moments exténuants. prenez le temps de vous remettre, pensez à vous, n’écouter pas les autres, ils ne savent pas. Ecoutez cette petite voix qui vous dit que vous êtes là pour vous et ceux que vous aimez même s’ils ne vous comprennent pas. des fois il faut s’arreter même si ça ne plait pas, les autres ne savent pas et ça ne veut pas dire qu’ils ont raisons. je suis passé par toutes les étapes de la dépression sévère. je suis stabilisée et reste encore fragile mais je ne reviens pas sur ce qui m’a rendu malade je pense plutôt à ce qui me soigne. ça prend du temps. je sais ce que je ne veux plus même si ça dérange, je me fou de ce que l’on pense de moi. ça change ma vie, je ne suis pas comme tout le monde, et alors, je ne fais de mal à personne. le temps est avec moi, ça m’apprend la patience, à petit pas je remonte tout doucement mais surement, j’ai accepté et je prend soin de moi. et j’assume ma maladie. C’est la 3eme fois et à chaque fois j’ai cru tout perdre, alors j’ai osé à chaque fois j’ai provoqué. Maintenant je vis au jour le jour et j’apprécie le moment présent comme jamais. Je ne pense plus à l’avenir parce qu’il n’estpas encore là, ni au passé parce qui est est fait. Tous mes actes on une conséquence, à moi de faire en sorte quelle soit positive. C’est difficile, je me donne des objectifs et je tente d’y aboutir même si ça prend du temps, petit à petit et je me rend compte que j »avance. Je ne cherche plus a être comme les gens « normaux ».
    Je vous en parle parce que j’ai passé des années à vouloir le faire. Je suis dépressive, j’ai vécu des années de pleurs, de TS, des séjours en HP, de grandes solitude, de mauvais choix, de colère et de tristesse, mais JE SUIS VIVANTE.
    mes idées noirs sont encore là, et je ne les provoques pas. elles ne font que passer.
    Enfin aujourd’hui je me sent plus forte pour apprecier la vie. Tout ça c’est moi, à vous de trouver votre instinct de survie. moi c’est mes enfants.

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